Digital Inter/Section (DI/S)

How to make money with new media art ? The Starving Artist Myth and other misconceptions
Anna Desponds
Anna Desponds
How to make money with new media art ? The Starving Artist Myth and other misconceptions

Lieu

Théâtre - Friends room

Langue

Anglais

Horaire et dates

  • Le 27 oct. de 14:00 à 15:00
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Gratuit

Introduction : Céline Berthoumieux (FR), Chroniques (FR)

Co-directrice de CHRONIQUES, qui organise la Biennale des Imaginaires Numériques. CHRONIQUES, incubateur d’imaginaires numériques, travaille depuis de nombreuses années dans les domaines de la création et de la production d’arts et de pratiques numériques.
Déléguée générale de HACNUM, le réseau national des arts hybrides et des cultures numériques. HACNUM a pour objectif d’accompagner les transformations du secteur culturel et de jouer un rôle de catalyseur dans les territoires, en inscrivant la culture dans le paradigme de la transition numérique.
CHRONIQUES a été l’initiateur du consortium DIGITAL INTER/SECTION.

Modération : Anna Desponds (PL), THE CATALYSTS (DE)

THE CATALYSTS est un cabinet de conseil qui stimule le développement d’acteurs innovants et créatifs dans les domaines de la technologie numérique, des médias, du cinéma, de la musique, du design et des arts. Anna Desponds a plus de dix ans d’expérience dans la conception d’événements primés à l’intersection des arts audiovisuels et de la technologie numérique. Anthropologue, titulaire d’une maîtrise en sciences humaines interdisciplinaires et d’une formation en recherche, elle se passionne pour le rapprochement de concepts et de personnes éloignés les uns des autres. Chez THE CATALYSTS, Desponds s’appuie sur cette vaste expérience pour faciliter la recherche, l’organisation d’événements et le développement d’activités pour les clients. Dans le cadre de THE CATALYSTS, Anna a été l’une des personnes à l’origine de la recherche présentée.

Conférencier :  Luke Kemp, Barbican immersive (UK)

Luke Kemp est actuellement coresponsable de Barbican Immersive et conservateur au Barbican, à Londres. Immersive a développé certaines des expositions les plus ambitieuses et les plus réussies de l’histoire du Barbican Centre, qui ont été lancées au Royaume-Uni et ont ensuite fait l’objet d’une tournée internationale. Les productions les plus récentes de Kemp au Barbican comprennent la co-curation et le développement de Our Time on Earth (2022) et AI : More than Human (2019) ainsi que leurs tournées. Avant de travailler au Barbican, Luke Kemp a collaboré avec des galeries et des organisations du monde entier, telles que la Biennale de Venise et l’Armory Art Fair. Luke Kemp a étudié au Goldsmiths College et à la Central St Martins School of Arts, UAL, et participe régulièrement à des jurys et des tables rondes sur l’immersion et la technologie dans l’art. Il s’intéresse à la relation de plus en plus étroite entre l’homme et la technologie et à la création de contenus et d’expériences qui permettent au public d’appréhender notre monde en mutation rapide.
Luke a été l’une des personnes interrogées dans le cadre de cette recherche.

Conférencière : Natasha Greenhalgh (UK), NXT Museum (NL)

Natasha Greenhalgh est cofondatrice et directrice créative du Nxt Museum d’Amsterdam, le centre d’art des nouveaux médias aux Pays-Bas, qui réunit sa passion pour l’art, la technologie et le son. Animée par la volonté de créer de nouvelles réalités, Natasha est obsédée par l’exploration et le prototypage de nouveaux outils créatifs, de récits et de collaborations.

Ayant étudié au Chelsea Art College, Natasha est formée en design d’espace et c’est ce qui motive l’intérêt de Natasha pour la façon dont Nxt peut utiliser le plus efficacement possible son espace dynamique pour communiquer son obsession pour l’avenir, en recherchant constamment des opportunités et de l’innovation. Natasha se consacre à faire en sorte que Nxt soit un lieu pour le plus grand nombre, et pas seulement pour quelques uns, en ouvrant les conversations à ceux qui auraient pu se sentir exclus auparavant. De plus, Natasha dirige le développement du Nxt Lab, un espace éducatif pour l’expérimentation, la recherche, le développement et l’échec, conçu pour responsabiliser et inspirer les pionniers de demain.

    Natasha Greenhalgh

    How to make money with new media art ? The Starving Artist Myth and other misconceptions.

    Ne craignez rien : dans cette session, nous parlerons de l’économie des arts numériques. Sur la base de l’expertise de plus de 60 organisations d’art numérique à travers le monde, nous démystifierons les idées fausses sur le financement des arts numériques, tout en examinant de nouveaux modèles commerciaux durables pour l’avenir de l’écosystème des arts numériques.

    L’année dernière, THE CATALYSTS, en collaboration avec les partenaires du consortium Digital Inter/Section (DI/S), a mené une étude approfondie des écosystèmes et des modèles économiques existants dans le secteur des arts numériques. Sur la base d’une enquête exhaustive, d’études de micro-cas et d’entretiens avec des experts, ils ont étudié les tendances en matière de monétisation qui suscitent l’enthousiasme du monde de l’art. Comment construire un avenir financier solide ? Rejoignez-nous pour un aperçu des principales conclusions du rapport et pour une discussion avec des représentants d’organisations numériques.

    Les rapports complets sont disponibles à l’adresse suivante : https://www.digitalintersection.eu/#publication-rapport-guide

    L’étude présentée fait partie de Digital Inter/Section (DI/S), un projet financé par la Commission européenne dans le cadre du programme Europe Créative. DI/S vise à diversifier les sources de revenus et les modèles économiques des organisations d’arts et de culture numériques, tout en promouvant un développement économique durable, éthique et inclusif. Il s’agit d’une initiative de Chroniques (France), Chromatic (Canada), Kikk (Belgique), Kontejner (Croatie), Signal (République tchèque) et THE CATALYSTS (Allemagne). Dans une prochaine étape, sur la base de la recherche, les partenaires développeront et testeront de nouveaux modèles d’entreprise innovants et créeront une boîte à outils pour accroître la résilience économique. Cette boîte à outils sera mise à la disposition de l’ensemble de l’écosystème afin d’accélérer la mise en place de nouvelles méthodes de travail.